J05- Dimanche 14 juillet 2019

Balade à l’aube autour de la zone humide entre 5h et 6h30.

Famille de Renard corsac, 2 adultes et 3 jeunes. Quelques Gazelles à goître.

Nombreuses alouettes (mongole, de Swinhoe, des champs, haussecol). Pipit de Richard commun.
Belle variété de limicoles sur les plans d’eau : Bécasseaux à queue pointue, Chevaliers sylvains et arlequins, Petits Gravelots, Avocettes. Tadornes.

On lève le camp à 8h35. On poursuit vers le NE jusqu’au lac de Khulstiin nuur : Tadornes de belon et casarca, Demoiselles, Echasses, avocettes, Chevalier aboyeur.

A 11h45 on arrive dans la ville de Tsagaan-Ovoo, près d’un lac. On piquenique près du lac après une session d’observation : Avocettes, Petit Gravelot, Barge à queue noire, Bécasseau de Temminck, Chevaliers sylvains, Gravelots à collier interrompu, Demoiselles (1 couple avec un jeune, puis une 20aine).

L’après-midi on contourne le lac pour avoir une bonne lumière. Très bon spot pour les laro-limicoles (WP35) : Goéland de Mongolie ; Bécasseaux à queue pointue, falcinelle, à cou roux, minute, cocorli, à longs doigts ; Tournepierre, Gravelot à CI.

Puis on poursuit vers l’est. On traverse une jolie steppe avec beaucoup de fleurs : lys jaunes, Iris violets, …

On poursuit la route jusqu’à un grand lac, le Tsagaan nuur (WP38) : nombreux limicoles, laridés et canards. Tadornes de Belon et casarca, Oies  cygnoïdes, Canards souchets (4) ; Chevaliers, arlequins, aboyeurs ; Barge à queue noire, Bargette de Terek, Pluvier fauve ; Bécasseaux à cou roux. Gravelot à CI ; Demoiselles. Goélands de Mongolie.

En route, on longe une grande ligne de pylônes : Grands corbeaux (nids sur les pylônes), Faucon sacre, Buse de Chine, Aigle des steppes. Un Renard corsac.

Après une longue route un peu hasardeuse, on rejoint par un grand détour le lac Yakhi « Yakhi nuur » (WP41).
On installe le camp sur un promontoire dominant le lac. Il s’avère que le niveau d’eau est très bas : des limicoles dispersés un peu partout sur toute sa surface.

Non loin de notre camps nous sommes passés tout près d’un adulte d’Aigle des steppes posé sur un rocher, dans le creux duquel nous découvrons un poussin, non encore emplumé. Nous évitons de les déranger.

Après le « log » journalier, Philippe nous fait écouter les enregistrements réalisés en continu la nuit précédente : Caille du Japon entendue.